Voici ce que j’ai cru correct de rédiger au sujet de la question interrogeant sur la durée d’un cyclique. Le téléphone reste indispensable quand on n’a pas accès à Internet. Grâce à ce moyen devenu « rudimentaire », je peux toutefois prendre connaissance des questions qui sont posées sur le site Jantel.org.
Ainsi, hier après-midi, un ami m’a fait part des dernières demandes (du moment). Une concernait la chanson « Sais-tu bien » (et je crois qu’il a fait le nécessaire pour donner les paroles au webmestre afin qu’il les place sur le site), et l’autre, plus délicate, s’inquiétait de la durée d’un cyclique.
Déjà, avec l’expérience - et aussi en accord avec quelques amis - , j’ai observé une nuance entre cycle et cyclique. En résumé, et par rapport à la précision dont font montre les V.E.T, lesquels ne se privent pas de faire état de cycles solaires ou annuels, mes amis et moi avons conclu qu’un cyclique comportait plusieurs cycles (solaires et autres).
Voilà de cela quelques années, à Auriol où je demeurais alors, un honorable monsieur, ingénieur chimiste de formation, et ancien directeur de recherches au C.N.R.S. de profession (s’intéressant notamment de près à la théorie des cordes), voulut me rencontrer après avoir lu les 2 premiers tomes des Visiteurs de l’Espace-Temps.
Ce monsieur s’intégra assez facilement dans les Textes malgré la complexité que l’on est en droit de leur reconnaître. Nous dirons que leur formulation entrait dans sa logique de pensée.
Après de fructueuses et longues conversations, il me conseilla (contrairement à certaines personnes se trouvant davantage en phase avec la dynamique de projection) de ne pas m’enquérir auprès de Karzenstein et de ses semblables d’éventuelles unités de mesure(s) qui auraient pu nous encourager à « positionner » les choses selon les critères auxquels notre culture nous a depuis trop longtemps accoutumés.
Ce monsieur considérait (à juste titre) que nous nous serions - du fait - perdus dans des méandres inutiles, au regard de ce que nous étions en droit d’attendre de nos potentialités analytiques, et conséquemment de notre progression.
Du reste, il me revient une anecdote qui date du milieu des années 1970. Au cours d’un entretien avec les V.E.T, un de mes amis lança à la cantonade :
La Terre a 4,5 milliards d’années ?!..
Et Jigor répondit laconiquement :
Tiens donc !
Depuis, il s’est avéré évident que les Textes se suffisaient largement dans leur mode d’expression et que nous ne devions surtout pas chercher à aller au-delà de la « vision synthétique » qu’ils déterminaient : entre Absolu et Quotidien…
Alors, combien de temps dure un cyclique ? Nous l’ignorons : simplement avons-nous déduit que tout correspondait à ce fameux quatriadisme : Conjoncturel / Circonstanciel / Situationnel / Evénementiel .
Cela sous-entend que la durée en question demeure très variable et ne se situe - en vérité - qu’en fonction des « modifications » que connaît perpétuellement la planète et, sans nul doute, l’univers dont elle fait partie. Les V.E.T définissent la chose en tant que mutation d’ensemble .
De manière simpliste, on peut s’autoriser (en désuperposition, évidemment) une petite comparaison avec les changements de saisons que l’on a la capacité de percevoir au plan sensoriel et, quelquefois même, « extrasensoriel ».
J’espère avoir quelque peu répondu au questionnement qui m’a été soumis, mais comme il semble que l’heure soit à la chanson, je ne crois pas m’éloigner trop du sujet abordé ce jour en vous donnant précisément à lire le texte d’une chanson (L’Hymne à la Terre issue du Voyageur de l’Orage). Comme son titre l’indique, elle est consacrée à notre bonne vieille planète, au fil des cycles et cycliques que celle-ci aura connus.
Bonne lecture, bien cordialement.
Jean-Claude Pantel.
1 Messages
Une belle animation 3D de ce que peuvent être les « cycliques », pour ce qui concerne notre « vaisseau » Terre (en plus, j’aime bien la musique) :) https://www.youtube.com/watch?v=ucL…
(Animation réalisée pour la Resonance Science Foundation développée par Mr. Nassim Haramein)