Karzenstein : Nous vous l’avons dit : le Mouvement part du Vide qui est l’Etat de Suspens de tous les « états de suspens »… Sachez que la dynamique spiralienne s’enclenche en le fixisme originel par réverbération mutuelle de précellules dont l’essence recèle des caractéristiques que vous pourrez qualifier de très polymorphes.
Karzenstein : Considérez-le, tel une désuperposition de la réverbération précellulaire enclenchant le processus « d’existentialisation ».
MAGLOOW : A l’occasion d’un entretien avec J.C.P. où il était question du « Courez, faites courir ; chantez, faites chanter ; écrivez, faites écrire » intervint MAGLOOW qui indiqua : « C’est le principe de réverbération. Miroir = exemple »
MAGLOOW intervint en indiquant : « C’est évident ». Puis il conclut de la manière suivante : La déflexion n’interdit pas la réverbération.
Karzenstein : C’est en réfléchissant quelque peu sur l’astatisme résultant de la fulgurance du contact issu « circonstanciellement » de la divergence de ces courants, que vous vous montrerez plus à même d’envisager, du moins intellectuellement, la modification de « la vitesse de la lumière ». Préconisons à l’endroit de ce point de détail une extrapolation axée sur certaines pratiques « inductionnistes »… Menées en bon ordre, celles-ci doivent vous faire aisément comprendre que la lumière s’active au prorata de la calorification émanant du principe enthalpique initial de réverbération.
JIGOR : Il s’opère, par la différenciation de la vitesse de ces flux, calorification, luminescence - pour ne citer que ces facteurs - en l’explosion implosive qui s’ensuit et le positionnement qui s’établit pour chaque existence, une désuperposition et une démultiplication ainsi qu’une réverbération de la parallélisation et de la périphérisation des faisceaux tubulaires émanant du particulaire initial.
Karzenstein : En sa désuperposition, le processus en est simple : de par l’effet réverbérationniste originel, puis postoriginel, le support occasionnel de transmission, en l’occurrence le musicien précité, voyage son esprit (amalgame cerveau/corps) sur certains sites architecturalisés configurant la géométrisation antique de la cité dite éternelle, lors du scripturalisme musicalisé de « BEN HUR »…
Le phénomène de transduction reste identique, JANTEL ! Simplement, le circonstanciel, en le mimétisme émanant du principe réverbérationniste, déplace l’échange en l’événementiel, lequel ne peut échapper à l’ordre implié que vit la pensée
Karzenstein : le déflexionnisme ayant « précontexturé » l’amalgame du semi-particuculaire constituant votre dernier état de suspens contenait, à l’instar de tout fluctuationnisme existensialisateur, un réverbérationnisme totalement approprié à son « essentialité », étant acquis que ce réverbérationnisme initial devient pour tout ce qui advient, en désuperposition comme en démultiplication, ce qui édifie le fondement même de l’incontournable « processus de compensation existentiel ».
DANY : Les répercussions provoquées par la percussion de l’ensemble de ces conditionnements deviennent à la longue les contrefaçons du réverbérationnisme en sa démultiplication. Autrement dit, une dénaturation de l’influence mimétique se propose « conséquentiellement » à l’endroit des valeurs initiales, provoquant en aval une substitution des éléments « corporéisant » le relationnel.
Rasmunssen : N’omettons pas de préciser que l’astatisme qui s’instaure alors, suite au choc en retour, entretient, de besoin en nécessité, selon le spécifisme concerné, le processus de compensation existentiel, étant acquis que deux flux se percutant, y compris en la démultiplication de la chose, appartiennent au principe de réverbération puisque, tel que vous le savez, ils en sont initialement issus.
Dany : Ma scripturalisation précédente s’est passablement inclinée sur les limites du cognitif de votre humanité actuelle et, entre autres subparallélisations, sur le « carentiel vertueux » pouvant en résulter. Vous ne vous trouvez plus sans savoir que « le réverbérationnisme » se démultiplie, notamment en l’influence mimétique, selon la fonctionnalité des « spécifismes » et selon l’interactivité que propose postexistentiellement la Loi des Echanges, dans la diversité des ambiants et sous-ambiants…
Dorénavant, il se verra primordial de maintenir votre souvenance sur le fait que l’Echange, en son législatif postoriginel, concerne à tous les niveaux réverbération et oscillation : du fait, au même titre que l’attraction préévoquée, vous ne manquerez point d’observer que le phénomène de pression s’accentue également.
Dany : Le « subi » se révèle selon le qualitatif initial imprimé dans le réverbérationnisme postoriginel, au gré des flux existentialisateurs, c’est-à-dire au gré des flux appelés à se percuter, donc à concevoir l’astatisme nécessaire à toute « matérialisation » de l’informationnel. « Matérialisation », guillemetée à dessein, se traduira ici par « localisation », la nuance à relever se trouvant dans la potentialité perceptive propre à chaque support.
KARZENSTEIN : N’omettez pas de considérer que ce situationnel reste issu du mouvement des directionnels contrôlables. Il va de soi que le contrôle en question s’établit en réverbération avec les potentialités du spécifisme présentement concerné… Il s’avérera donc toujours juste de voir se manifester des flux que nous qualifierons occurrentiellement d’idéologiques.
MAGLOOW : Phénomènes pressionnels comme attractionnels varient dans le cheminement des « ambiants » qu’ils génèrent et dans lesquels ils se régénèrent, tout « informationnel » créant pour ainsi dire « le formationnel » qui le véhicule, puisque ne figurant rien d’autre, en resuperposition, que le produit du « réverbérationnisme postoriginel », géniteur de toute existentialisation.
Karzenstein : Ce « rendu » me concerne car il se veut « exercice d’état », pour reprendre un terme qui vous est devenu familier, et, égalitairement à tout produit de la Loi des Echanges, il lui est dû, au gré des ambiants, une réverbération concordant à la qualité d’origine du support l’exprimant…
Karzenstein : Prenant en considération l’origine des choses, donc les lois physiques générant les ambiants et les situationnels s’en épandant, il devient incontournable de faire référence aux données essentielles du reçu. En aval citons l’Osmose Attractive, l’oscillationnisme, voire le déflexionnisme, et en amont conformons-nous aux données essentiales que sont réverbérationnisme et Alternance Osmotique.
La Loi des Echanges, au gré du « réverbérationnisme », puis de l’oscillationnisme, fait que nulle vie consciente ne se trouve dispensée de dispenser le « reçu » du « donné » en « transmis » ou en « rendu », sous quelque formationnel qu’il soit…
Jigor : Faire corps avec chacun de ceux-ci reste le propre de chaque espèce, dans la diversification que connaît la compensation existentielle inhérente à la Loi des Echanges régissant tout. Notez occurrentiellement que, temporel d’essence, cet effet du réverbérationnisme initial se vit spatialement selon les caractéristiques de la volumisation concernée.
JIGOR : Tel qu’il est aisé de s’en rendre compte, le transductionnalisme fait partie intégrante de la Loi des Echanges. Issu du réverbérationnalisme essential, son fonctionnalisme se stratifie donc selon la législation du « faire corps » s’opérant aussitôt que se révèle un spécifisme.
Le terme « prédisposition » doit se traduire en tant que virtuelle mise en place dans l’élaboration d’une fonction par rapport à sa localisation. Il est à relever que nombre de prédispositions n’aboutissent pas aux dispositions pour lesquelles elles sont conçues. Il faut concevoir que la qualité qui s’en décèle appartient au conséquentiel et que le causal dépend quant à lui du réverbérationnisme dans ses diverses stratifications…
Le fait est que nous ne situons vraiment le mouvement de ladite Pensée qu’a posteriori, disons, pour reprendre une de vos expressions, « en effet différé »…
Karzenstein : Précisément parce que le manque de constance dans le théorétisme favorise le cogito dans son confinement à l’option d’exister au détriment de celle du devoir être…
Qui se conclut par la prédominance de l’acte sur l’agissement…
Karzenstein : De par l’effet démultiplicationnel s’enregistrant dans la réverbération en sa désuperposition, à savoir ce délai entre le « reçu » et la « conscience du recevoir »… dont vous n’ignorez plus la cause…
Karzenstein : Celles et ceux qui recevront votre rendu en la transcription et l’interprétation de ce dont nous venons de converser sauront ainsi qu’il ne suffit pas de vouer admiration au ministère de Jésus, voire, en désuperposition, à la lecture de Victor Hugo, pour se trouver en réverbération avec le courant initial de pensée de manière efficiente…
Karzenstein : Les individus présentement concernés par nos propos du jour sont davantage en réverbération avec ce que leur propose l’interception de la « vocation anthropocentrique » que vous manifestez qu’avec le courant initial de pensée auquel leur « capacité d’admissibilité d’impression » leur donne accès…
Karzenstein : Quelque cinq cycles solaires auparavant, vous fûtes engagés à souscrire à concevoir l’Existence (que vous orthographierez avec un E majuscule) en les désuperpositionnel et démultiplicationnel de son cheminement : de la calorification enclenchée par le réverbérationnisme du précellularisme ou particulaire préconditionné par le fixisme originel jusqu’au concrétionnisme de la tubularisation de faisceaux engendrant le tournoiement frictionnel des particules en fusion procédant aux explosions existentialisatrices de systèmes stellaires…
La Loi des Echanges dispose le réverbérationnalisme désuperpositionnellement et démultiplicationnellement pour la totalité des spécifismes. Il vous a été indiqué qu’en ce qui concerne certaines espèces, dont la vôtre, « l’influence mimétique » est partie intégrante du produit de ce mouvement.
Dany : Souvenez-vous, à cet effet, du « synchrotronisme » évoqué par Karzenstein : vous le percevez ce jour sous une autre forme que vous définirez syngtamiquement en tant « qu’évolution par l’involution »…L’expression qui s’en exhale ne peut échapper au principe de réverbération révélant toute chose selon l’existentialisation des spécifismes que vous savez.
Dany : L’initial ne peut s’uniformiser en une expression unitaire qu’autant qu’il s’est vu inscrit dans la réverbération préexistentielle, autrement dit, dans le constitutionnel primal de la capacité d’admissibilité d’impression.
Karzenstein : Pour ce, je vous engage présentement à bien tenir compte du fait que ce que nous nommerons occurrentiellement la charte universelle concerne primalement le préexistant, lequel, vous ne l’ignorez plus, ne déroge pas au principe de l’échange puisqu’il se trouve initialement vécu par le réverbérationnisme.
Au stade concernant vos semblables, cette périphérisation devient entre autres le processus d’édification de ce que représente l’influence mimétique, sous-produit du réverbérationnisme. Celui-ci perpétue par cogito interposé le desmodromique traditionalisme qui, sous le couvert d’une culture que nous qualifierons à juste titre de séquentialisatrice, s’accorde à rendre légitime ou non la qualité des choses entreprises.
J’en suis conscient, mais vous m’engagez là à pratiquement continuer ce que j’entreprends et parfois je doute…
Karzenstein : .. Faute de constance dans la réverbération, Jantel ; nous vous l’avons déjà fait savoir, c’est un problème de réverbération incidente qui se pose à vous, sans plus ! ( note : réverbération incidente : Réfléchir, renvoyer ( le « rendu » ) de façon non-volontaire - en psychologie “incident” s’oppose à “intentionnel”, par exemple pour un apprentissage )
Karzenstein : : le réverbérationnisme initial procède à l’élaboration du courant initial sous la forme de faisceaux tubulaires qui, en désuperposition, constituent ces flux directionnels et dont il n’est pas vain de rappeler au passage que d’aucuns se veulent contrôlables…
Dany : les fluido-luminescents vous ayant suffisamment fait valoir combien, à ce propos, la capacité d’admissibilité d’impression se voulait déterminante en matière d’expression dans le principe de réverbération.
Jantel : L’omniprésence du magnétisme nous donne à ressentir, sur ces entrefaites, qu’il y a bien là matière à discerner un positionnement que je me risquerai à assimiler (au regard de ce qu’énoncent les Textes) à un état de « réverbération incidente » (n’oublions pas que toute « existentialisation » demeure la résultante du « réverbérationnisme », toutes strates confondues) entre deux supports de type minéral : l’un émanant de l’espace cosmique, l’autre s’avérant être tout simplement le support terrestre, en sa localisation occasionnelle.
Karzenstein : La contrôlabilité des flux s’effectue à ce prix, Jantel… Seule une vigilance s’établissant dans la constance peut occasionner obstacle au déflexionnisme, au gré des incidences que sait provoquer le réverbérationnisme, et ce, tant en désuperposition qu’en démultiplication…
Karzenstein : Conscient, semi-conscient, inconscient se trouvant diversement vécus par ce processus, la réverbération qui pourvoit à l’efficience dans tout échange propose, au titre de la continuité, un réajustement de l’interdépendance précitée et occasionne une réification des données, tous spécifismes mêlés.
Ne demeure-t-il point de toute vérité que le déflexionnisme ne possède aucune latitude pour interdire le réverbérationnisme, ainsi que vous le sous-entendez dans votre missive à Virginie ?
A titre d’exemple pour ce qui s’adéquationne à votre humanité du moment, et au paroxysme du déploiement de ce noumène, oscillationnisme et réverbérationnisme pourront provoquer, toujours par l’intermédiaire du tourment en cours, les fameuses stygmatisations dont les plus symbolistes s’effectuent au cours des préphase et phase de récursivité…
Chacun aura su l’observer et saura à nouveau l’observer : réverbérationnisme, et en désuperposition influence mimétique conditionnent amplification comme atténuation du processus.
Jadöpher : Cette restructuration s’applique bien sûr au gré des flux, aussi bien dans son état originel, que vous savez être le « spécifisme », que dans les fonctions (agissements, gestes et actes) figurant les effets du réverbérationnisme entre chaque support existentiel (en l’Espace situé) et les ambiants (par le Temps déployés).
Jigor : Concevoir les effets du réverbérationnisme, dans son processus, tant désuperpositionnel que démultiplicationnel, enjoint, pour tout formationnel, en son spécifisme, de procéder à une observation de la constance selon laquelle se déploient les actions produites par le mouvement spiralien.
Magloow : Dès lors, chacun conviendra qu’accorder au « situationnel patronymique » une importance indue, tel que l’originelle fonctionnalité de votre spécifisme l’induit, restreint au « sous-échange » précité, ne laissant préfigurer de « réverbération » harmonieuse et durable avec le Vide -, Vide avec lequel les cellules de reviviscence sont, tôt ou tard, amenées à voisiner dans le domaine du « suspensif »
Magloow : Au plan « conséquentiel », et dans le cadre de toute éventuelle « mue évolutive » impartie au « spécifisme », les dits éléments décalent, sans cesse aucune, la propension à « l’agissement », et donc la « réverbération » propice à l’avènement de la « mue » en question
Magloow : En dérivé de « l’informationnel » dévolu à chaque « spécifisme », « la concordance en l’adaptabilité » ne figure rien d’autre que la percussion de deux flux. Elle détermine, en la fonctionnalité d’un état, une des formes d’aboutissement du « réverbérationnisme »post-originel.
Chez vous, la plus flagrante démonstration de ce processus se dévoile avec la formulation de « l’aptitude », mais se concrétise le plus couramment lors de l’avènement de réverbération(s) incidente(s) que vous pourrez traduire sous le syntagme de « phase(s) d’implicabilité ».
Zilder + Magloow : Vous pourrez considérer qu’il en va de même avec les « idées ». S’en délester permet de consacrer plus de place au « Vide », donc à la capacité de perdurer dans le « suspensif », où, au gré des flux et des réverbérations incidentes qu’ils provoquent, s’existentialisent tous les spécifismes, avec leur fonctionnalité.
Jigor : Dissociée de tout concept, « l’appréciation » dessine ses repères en l’échange informationnel . Celui-ci s’exprime à la faveur du réverbérationnisme qui, de désuperposition en démultiplication, procède au préconditionnement de tout ce qui se révèle fonctionnel
ZILDER : Soumise à ce qui n’est rien d’autre que « le déflexionnisme » , chaque vie consciente connaît des phases de « réversibilité » qui s’enregistrent en qualité de « faire corps » , en réverbération avec le spécifisme déterminant les modalités inhérentes au binôme état / fonction , c’est-à-dire en adéquation avec le compensatoire existentiel propre à chaque espèce.
Jigor : A propos de ce qui a suscité l’intervention présente, vous êtes à même de déduire qu’en le réordonnancement de l’impliement se situe l’ensemble des « vestiges » définissant le produit de l’exercice permanent du réverbérationnisme, dont précisément le lignage des espèces, mais aussi des climats et autres facteurs environnementaux
Jigor : Ainsi que cela se révèle déductible, cette dernière détermine sa praxie en « réverbération » avec le processus de compensation existentiel du sujet par la mue concerné, selon une « décritérisation » affirmée des données appropriées à la fonctionnalité de son espèce.
Jigor : Se cantonner de la sorte à cette estimation restrictive, abstient d’apprécier la systématisation du mouvement, en sa « situabilité fonctionnelle », laquelle demeure - dans la totalité de ses strates d’expression - le produit du réverbérationnisme issu du Fixisme Originel que, moins de quatre cycles solaires auparavant, Karzenstein vous invita à qualifier de mouvement primordial .
Si, en inhérence à cette « justesse », s’avère fondé de considérer que l’astatisme existentialisateur succédant à la percussion des flux ne représente que « désuperposition » de cet « immobilisme concepteur », il faut conjointement garder à l’esprit que la perpétuation du « principe de réverbération » s’effectue pour tous les spécifismes révélés, tant dans la « spatialité » que dans la « temporalité » , définissant alors ce qui transparaît de la qualité des choses à vivre.
ZILDER selon MAGLOOW : « Tout » (y compris l’apoptosisme) se voulant produit intégral du réverbérationnisme, en désuperposition comme en démultiplication, force est de constater que l’élément d’harmonie demeure toujours présent .
Ainsi eûtes-vous à apprendre, plus de dix décennies en arrière, peu après le déroulement du « situationnel » ayant réuni des membres d’une congrégation de « pères blancs » et leurs « tortionnaires », qu’un mouvement d’ensemble - issu du « principe de répartition » - avait en quelque sorte relié les deux pôles idéologiques (en l’occurrence religieux) sous la praxie d’une subdivision à caractère unitaire dudit réverbérationnisme.
Jigor : Nous ajouterons ici (en vertu de vos potentialités perceptives du moment) que vivre et être vécu harmonieusement par l’Oscillationnisme (prioritairement dans ses phases paroxysmiques) détermine, en grande part, l’intensité existentielle allouée à tout support qui est destiné à une continuation post-rupture à l’état conscient. Cela doit servir à vous souvenir que le déflexionnisme n’interdit en aucun cas le réverbérationnisme
Ceux qui « ricochétiquement » auront accès à ce discours apprécieront l’inhérence de cette « convention » à ce qui vous fut répété ce jour quant à l’incapacité du déflexionnisme à influer - dans une efficiente continuité - sur le réverbérationnisme.
Jadöpher ; Volumisation appelle volumisation, ce n’est là que résultante du processus percussion / répercussion, lui-même issu du « mouvement » de désuperposition et démultiplication inhérent au réverbérationnisme et à ses flux existentialisateurs.
JIGOR : Au-delà de l’analytique, vous avez « intercepté » des éléments qui, bien qu’en évidente réverbération avec votre admissibilité d’impression, demeuraient seulement, jusqu’alors, au stade de la périphérisation, avec toute « l’inconstance d’expression » que la chose donne à vivre.
JADÖPHER : Précisons néanmoins - et vous ne l’ignorez pas - que votre auditoire ne « s’imprimera » de la teneur de nos entretiens qu’en vertu de sa capacité d’admissibilité d’impression, donc pour ce à quoi il se trouve apte à correspondre, donc à « réverbérer ». Et c’est dans le mouvement de réverbération que se dispose le rejet propre à « élaborer l’agencement » idoine à chaque existence, de quelque spécifisme que celle-ci se définisse
Magloow : Etant ouï que ce sont les flux qui « programment » la réverbération incidente et leur produit en façonnant une « fonctionnalité d’ensemble », il convient de conserver à l’esprit que l’événementiel possède sa propre intelligence et qu’à la faveur des flux précités, l’actionnel se régénère au travers d’autres « supports occasionnels », consacrant de la sorte ce qu’il s’avère opportun de considérer telle sa récurrence réadaptatrice
Karzenstein : Délaissons votre appréciation - si fondée se confirme-t-elle - et reprenons le cours de nos dires en rappelant ce que vous souligniez récemment à vos amis Chantal, Monique et Maurice, par rapport à un aspect de l’action du réverbérationnisme…
Jigor : Lors des situationnels dits « paroxystiques », il est aisé de constater que ces émergences s’assimilent à des « rayonnements » produits par le réverbérationnisme en ses strates de positionnement.
Jigor : Déjà, convenez bien que la chose, inhérente au réverbérationnisme après l’enclenchement régissant sa tangible localisation, se développe au gré de l’actionnel que cette inhérence dispose (désuperpositionnellement et démultiplicationnellement) d’après ce que vous savez être la réverbération incidente.
Ainsi, pour ce qui a trait à votre catégorie d’espèce pensante, la réverbération incidente s’effectue en conformité avec l’informationnel de base dévolu à chaque individualité, puis se détermine immuablement entre « dynamique de projection » et « dynamique d’interception ».
Toutefois, il ne s’agit pas là d’incompatibilité proprement dite, mais plus exactement de « décompatibilité », dans le sens où la chose ne saurait se trouver foncièrement incompatible, étant acquis qu’elle configure le produit de l’Osmose Attractive : donc de la réverbération qui s’avère conséquentiellement incidente, notamment par la spasmodicité de l’échange à laquelle votre espèce reste vouée plus particulièrement, et au su de la caractéristique majeure du processus d’attraction qui, à l’opposé du processus de pression, se veut « alternatif » sur le plan du « manifesté ».