Réverbérer : latin reverberare « repousser, refouler », « rejaillir », « réfléchir (des rayons) », de verberare « battre », fig. « maltraiter (en paroles), fustiger, rabrouer », lui-même de verbera neutre pluriel « baguette, fouet », « coup, choc », « coups de langue, réprimandes ».
Le mot « réverbération » est généralement utilisé pour parler de la réflexion et diffusion de la lumière ou de la chaleur.
Le principe de réverbération ou réverbérationnisme est un des principaux concepts des Textes ; la réflexion, le « transmis » ou « rendu » peut être volontaire (intentionnel) ou non (réverbération incidente) . Au point de vue cosmologique, à partir du moteur immobile (le fixisme originel), la réverbération enclenche le mouvement spiralien qui se poursuit dans la parallélisation et la périphérisation des faisceaux tubulaires émanant du particulaire initial (réverbérationniste originel, puis postoriginel), créant les flux existentialisateurs. C’est la source de l’oscillation à tous les niveaux de désuperposition. D’où la Loi des Echanges. Pour nous, ce réverbérationnisme peut se vivre aussi bien temporellement que spatialement.
Notons que, corporellement, l’établissement de réflexes conditionnés établi à la longue une contrefaçon de ce réberbérationnisme, contrefaçon qui fait perdre la « marge de manœuvre » (la possibilité de libre arbitre) à l’être humain.
Par contre, l’influence mimétique peut être considérée comme « déflexion » du réverbérationnisme