La Loi d’évolution des espèces est une Loi, c’est à dire un principe issu directement de l’Initial . Cette loi est simple : “des espèces évoluent autant que d’autres se figent”, nous dit Rasmunssen . Remarquons le « autant » de la phrase . Il rajoute aussitôt que “plus l’évolution est qualitative, plus la stagnation est quantitative” . L’évolution mène à la fulgurance mimétique de l’Initial et, in fine, au non-penser de l’Originel . La stagnation mène à la revie dans la géométrisation et à sa fréquence de plus en plus accentuée .
La qualité se fait au détriment de la quantité : pour notre grouillante et géométrique espèce humaine qui ne vit pas le Temps dans sa réalité mais subit la chronologie implacable des instants et la spasmodicité de l’existence, nous sommes voués à la quantité de plus en plus médiocre au détriment de l’amélioration de la qualité des choses à vivre . Aux fluido-luminescents de réduire cette quantité qui limiterait ou figerait l’ensemble de l’évolution des espèces si elle venait à trop déborder . A la quantité est liée la dérive vers le gigantisme et la modification des formes . De plus, “en croyant multiplier, vous divisez…” car la répartition d’Intelligence divine se dilue . A quoi sert alors l’espèce humaine ? Karzenstein enfonce le clou : “Vous êtes pour les Espèces vraies « le souvenir de leur expérience », c’est votre raison d’être : là se situe « physico-philosophiquement » votre fonction… “ .
Remarque : Cette Loi de l’évolution des espèces est une loi d’évolution spirituelle mais elle n’est pas aussi éloignée que l’on peut penser de la très connue loi d’évolution ( naturelle ) des espèces ou de co-évolution avec ses modifications des formes et sa tendance au gigantisme, loi que l’occident commente et utilise depuis la parution du livre de Darwin, C. en 1859 : On the Origin of Species - John Murray, London
Notons que règle de Cope dit que la taille des organismes tend bien à croître au cours de l’évolution ( la tendance au « gigantisme » ) . Cette règle est vraie à 70% environ, or on devrait trouver 50/50. Cela n’a rien à voir avec une tendance du type sélection naturelle des plus grands mais à une conséquence mathématique de l’occupation d’un territoire limité .
Aujourd’hui, l’éco-évolution est devenu un terme plus global que celui de co-évolution des espèces. Voir l’article de Wikipédia :
Il nous faudrait donc mettre, d’après les Textes, l’action de l’espèce des fluido-luminescents comme source de sélection pour l’espèce humaine en suplément des conséquences des cataclysmes réguliers des cycliques …