Effectivement, Isabella. Seules les existences vouées à une Mue évolutive conservent, en leur patrimoine cellulaire, leur patrimoine identitaire (Du moins en partie). Doit-on les concevoir comme des Revies à part entière ? La nuance est telle, dans le sens d’une vie [1] en marge des revies, que je préférerais parler, pour ma part, d’accès singulier à une vie consciente définitive (Présent achevé).
Retranscrivons un extrait de dialogue échangé entre Jantel et Karzenstein (8 Août 1996) :
Question (Jantel) : Vous confirmez là toute l’importance que vos dires nous avaient laissé entendre quant à l’importance fondamentale de ces états de suspens. Etats de suspens que nous nous étions permis de considérer tel un positionnement cellulaire entre deux vies conscientes…
Karzenstein :
Et n’omettez plus de le préciser à présent, JanteI, à des paliers différents de la superposition existentielle… puisqu’il peut tout aussi bien s’agir, de revie que de mue évolutive…
Des lèvres radiées de Karzenstein, il semblerait donc que Mue évolutive et revie ne doivent pas se voir considérer comme une seule et même chose [2].
Par ailleurs, vous citez certains renoms comme Jésus, Moïse, etc., noms auxquels il vous faut dorénavant rajouter tous les personnages qu’incarne le Voyageur de l’Orage dans l’épisode, dite des « bulles », surnommé « Picturalité Céleste » : Marie Curie, Sitting Bull, etc.
Et n’omettons pas de citer… Noé qui, semble-t-il, à l’instar de Prométhée déjà mentionné par Rasmunssen (Juin 1988), aurait bel et bien existé (En marge du mythe bien entendu).
Ainsi, nous déduirons aisément que, si aucun des disciples du Christ ne fut récupéré (Par rapport à leur existence ayant côtoyé physiquement celle de Jésus alors géométrisé), en revanche il n’en est pas exactement de même pour ses apôtres, à l’image de Saint Paul (17e bulle) qui concerne une récupération post-mortem.
N’oublions pas non plus que ces Mues évolutives font fi de nos notions de bien et de mal, ne serait-ce si l’on s’en tient à la liste (non exhaustive) établie par nos « amis » les VET dressant certains noms, dont notamment, pêle-mêle, Grigori Efimovitch Raspoutine, Gengis Khan, Louis IX (Saint Louis), Napoléon , qui risqueraient d’en choquer plus d’un tentant de s’accrocher désespérément à ses certitudes !
Devrons-nous ajouter que, très vraisemblablement, furent aussi récupérés des individus à « vocation anthropocide » (Nous tairons leur patronyme), véritables « monstres » sanguinaires [3] auxquels on imputa même, pour d’aucuns, quelque crime contre l’humanité ?
Haro sur nos credo ! Le critère de sélection d’une « Mutation Transfigurationnelle » explose les barrières de tout code institutionnel : moral, pénal, civil, déontologique [4]…
En effet, ce véritable numerus clausus édifiant, sur la pyramide de la Vie, la pointe qui constitue l’élite des Espèces (En marge de l’élitisme), élabore, depuis la large base/individu jusqu’au fin pyramidion/Être, un passage que nous nous devons de considérer avant tout comme un « calibrage » dont la dimension exclusive, la dimension spirituelle (Temporelle), sculpte et peaufine les contours de l’Initié qu’au seul acier d’un unique burin : Le Faire-Corps.
Qu’est ce Faire-Corps ? Au premier chef une obéissance. Obéissance qui, réaffirmons-le, exclut du processus toute forme de code cogital, mais interagit uniquement en fonction d’un codage de la Pensée que celle-ci émet au penser par voie d’Ondes (Onde de Vide).
Rappelons une parabole du Christ exposant cette nécessité d’un calibre adopté, celle du fameux chameau qui aurait plus de chance de passer dans le trou d’une aiguille que le riche d’accéder au royaume des Cieux.
Et nuançons-là à présent : Si, bien des hommes possédant des biens de valeurs échappèrent pourtant définitivement au cycle des Revies, en retour, beaucoup d’hommes vivant dans un total dénuement n’ont pas systématiquement eu la chance d’être épargnés par cette tragédie qu’est la « renaissance ».
Justesse qui ne pourfend point pour autant la véracité des dires paraboliques de Jésus, dans la mesure où la quête de thésaurisation amène, la plupart du temps, la personne à s’égarer, plus qu’autres choses, sur la route essentielle de sa progression.
Dans cet ordre des choses, naissent parfois des individus capables de supporter, dans une durée plus ou moins longue, la charge pressionnelle de la présence quasi constante, au beau milieu de leur environnement direct, des Espèces semi-géométrisées alors aux commandes du stratagème ourdi et consenti à distance respectable…
En fonction des Ambiants, ces individus, le plus souvent voués à devenir des Êtres, et dont le cerveau et le corps sont sous le contrôle, de a à z, des Entités en présence, se montreront dès lors aptes (En marge des notions bien et mal) à drainer les directives divines que voyagent les Flux Directionnels et, selon les exigences intimées par le drame tramé de la surprocréation, à orchestrer par-là même, à une échelle peu ou prou mondiale, l’ordination de « dégéométrisations » massives réajustant logiquement le déséquilibre amplifié par le gouffre s’étant accentué, sur la balance de la Justesse, entre les deux plateaux que sont Qualité et Quantité. Puis s’en vient le fléau [5].
Combien de dictateurs, de despotes éclairés postulèrent pour ces célestes sièges qui attendent un séant rayonnant après la mort ?
Au scandale me crieriez-vous ? Interjection ab-réactive qui ne serait que la conséquence du fait que nous ne pensons la Cause qu’en termes de… conséquences.
Les VET nous ont prévenus - à plusieurs reprises – du gigantesque danger encouru par cette (dé)multiplication [6] déraisonnée du (sur)nombre humain provoquant la trop forte individuation de notre espèce, comme dans cet extrait de Karzenstein (Mars 1983) :
« En référence à ce que vous vivez : en procréant, vous ne multipliez pas, vous divisez… En voulant canaliser l’Intelligence Divine, vous « sous-bâtissez » et s’extraient de vos existences l’intuition, l’instinct, parcelles de « vérité » dont vos précellules ne demeurent que le support et ce, dans le provisoire, dans la « fugitivité » des instants, dans l’identité « figeable » et figée de vos vies conscientes successives. »
Pour avoir désobéi au précepte que nombre de relais humains, tels que les patriarches, les justes, les prophètes, les aèdes, etc., ont rétrocédé aux peuples de tous les empires terrestres se succédant les uns aux autres, s’ensuivirent les affres multimillénaires que subit notre humanité obruée [7] sans cesse d’épouvantables calamités.
Or, réalisons-nous vraiment que ce que nous nommons des catastrophes, châtiments, tenus pour divins ou non, ne sont que la conséquence d’une Cause à effet-ressort : L’Espace-temps, lequel s’étire et se comprime en fonction du perpétuel couplé pression/attraction que la main du Vrai manipule à sa guise ?
Surprocréer correspond à étirer par trop ce ressort qui, grâce au cumul d’une faramineuse énergie mécanique emmagasinée, nous lâchera tôt ou tard en plein visage, pour finir par retrouver, de toute manière - après avoir broyé au passage, sous un entrelacs d’effroi, un maximum de masse humaine - sa compression d’origine.
Qualité élastique oblige, la phase oscillatoire succédant à cette trop forte compression (Cent pour cent incontrôlée), ne nous donnera autre alternative que d’étirer à nouveau, et ce, démesurément, les spires enroulées sur elles-mêmes de la volute fatale. Nos sociologues surnomment l’avènement de cette phase le « baby-boom ».
Jusqu’à ce que la torsion par trop dilatée, sans aucune pitié pour personne, se relâche une nouvelle fois pour se comprimer encore.
C’est précisément ce « moment cinétique » où la chose, réduite, se voit aussitôt terriblement compressée au cœur même de cette progressive et constante alternance de doubles phases motionnelles (Expansion/Rétraction), que les VET nous ont décrit sous le syntagme d’Ordonnancement Magnétique. [8]
Nous y accédons actuellement avec, à l’apogée de cette cinématique-accordéon, le futur dernier grand humanocide promis à cette Fin de Cyclique, en Asie Méridionale.
Parce que nous voulûmes, du couteau de l’espoir croyant en des lendemains meilleurs, partager le gâteau de l’Energie noire en des parts de plus en plus infimes, il ne nous reste à savourer aujourd’hui, dans l’assiette fêlée de notre quotidien, que des miettes insapides et dont le goût ranci nous donne envie de les recracher aussitôt et de dégorger sur le sol un fiel d’infamie.
A qui la faute ? Faut-il, à la manière de Victor Hugo, accuser l’ignorance en s’écriant :
« Et je dis à la Nuit : Répondez, accusée. » (Dernier vers de « La Pitié Suprême »).
Je laisse chacun juge de l’incrimination qu’il portera au coupable de son choix.
1 Messages
Le 21 octobre 2010 à 11:09, par bertrand72
A lire absolument pour tous ceux ou celles qui veulent aider Jean Pierre PETIT dans sa lutte du petit contre les mammouths… le compte -rendu de ses colloques de Corée et de Strasbourg menés tambour battant du haut de sa chaise roulante..sur son site, sans oublier Ufo-Science..JPP est plus fort qu’Astérix et Tintin mais il a besoin de 3 francs 6 sous…
Le 21 octobre 2010 à 19:59, par trouvésurlilith ?
Vous vouler aider quelqu’un qui considère pantel comme un escroc ! Vous êtes vraiment très charitable monsieur.
Le 21 octobre 2010 à 15:59, par Rock en bol
Qu’entendez-vous par 3 francs 6 sous, Bertrand ? Quelles sont les coordonnées du site de JPP ? Merci de répondre. A +.
Le 22 octobre 2010 à 12:26, par bertrand72
jp-petit.org , tout est trés bien expliqué ,pour qui s’y intéresse .Bonne lecture rockenbol.On peut être un génial Léonard et se tromper ou être trompé sur telle ou telle personne . Cela ne serait pas arrivé à notre cher Jean-Claude car il ne critique personne.