AVERTISSEMENT : Il s’agit là de la relation de propos qu’aurait tenus hors témoins « Mme DANY » au cours d’une « captation » de J.C.P.
Celle-ci a en tout premier lieu considéré les formes que prenait la dégénérescence de notre espèce et souligné que la série d’événements électoraux [1] sis dans notre récente chronologie constituait des « ruptures existentielles ».
La chose se projette dans toute forme d’existence (un scrutin est une existence). Elle a parlé par ailleurs de la décimation de certaines espèces marines dans le cadre de la « massification » des espèces (le fait qu’il y ait trop d’espèces nuit - reportons-nous à la quantité viable et à la densité viable -, cela altère vraisemblablement le resuperpositionnement cellulaire, si l’on considère la multiplication de ruptures).
Il a été employé le terme « massique ».
Il a été signalé que le plancton est touché.
Cette décimation provient de ce zooplancton qui rend les cétacés stériles. En effet, les micro-organismes sont touchés par les mutations, ce qui permet de soupçonner un effet « domino » puisque la chaîne alimentaire sera touchée par la répercussion… C’est beau l’interdépendance ! Sacré plancton !
Il a été rappelé le fait que les cachalots s’échouent (ce que notre actualité a révélé à maintes reprises) et qu’il s’agit là, en l’occurrence, de ruptures dites « autogestionnelles ».
Enfin, il a été précisé que le « mutationnisme » touchait d’abord les micro-organismes et petits organismes de par la désuperposition du semi-particulaire.