Si la considération de la chose s’établit en fonction d’un mouvement d’ensemble, il s’avère évident que tout est à sa place, tout restant assujetti à l’Etabli…
Toutefois, ce tout ne représentant que l’amalgame d’une multitude de « chacuns », il importe de ne point perdre souvenance du fait que ces « chacuns » connaissent l’opportunité de remettre en cause le provoqué qui leur est en grande partie dépendant.
Il ne s’agit là de rien d’autre que la mise en exercice de la marge de manœuvre se voulant impartie à tout un chacun…