Alors que je parlais à J.C.P. de la photographie-écriture de la lumière et de la peinture - le peintre s’attachant à capturer la lumière -, il advint le Texte suivant, précédé par l’apparition sur l’écran de l’ordinateur d’un paysage et d’un peintre :
MAGLOOW
Les deux images ne se réfèrent pas à des actualisations indépendamment existantes, bien qu’en interaction.
Vous « pourrez dire » d’une image qu’elle est le causal d’échanges reliés à l’autre.
Elles se réfèrent plutôt à une actualité unique, laquelle est le terrain commun aux deux (ceci explique la corrélation entre les images sans la supposition qu’elles s’affectent causalement l’une l’autre).
Cette actualité revêt une bien plus haute dimensionnalité [1] que ne le sont vos images séparées sur des écrans.
Cela devient alors une réalité tridimensionnelle.
Cette réalité tridimensionnelle tient ses projections bidimensionnelles à l’intérieur d’elle-même.
C’est un ordre implié.
Cependant, puisque ces projections doivent être considérées en tant qu’abstractions, la réalité tridimensionnelle n’est aucune d’elles mais plutôt s’agit-il de quelque chose d’autre, quelque chose d’une nature au-delà des deux.
S’inscrivent alors sur l’écran : « le particulaire… le particulaire » [2] et l’annonce de JIGOR qui suit :
JIGOR
Vous pouvez considérer chacune des particules constituant un système (particulaire) comme une projection d’une réalité d’une autre dimension (plus haute) plutôt qu’une particule séparée existant en même temps que tous les autres.