Etant acquis que la rupture poursuit la rupture jusque dans la rupture, il incombera à chacun n’y ayant procédé de faire constat qu’en la continuité qui la vit, la rupture demeure une existence puisque son avènement ou éclosion se révèle au travers d’une composante de trois phases successives :
la cessation d’échange du spécifisme avec l’ambiant entrant en adéquation avec ce spécifisme ;
la périphérisation du semi-particulaire s’enclenchant de par le choc en retour ;
la récurrence réadaptatrice veillant aux diverses mutations entrant en lice dans le canevas de répertorisation du « suspensif ».
Ce processus se veut évidemment renouvelable du fait de la fusion constante des choses.
Cependant il est à noter que la permanence de cette dernière n’exclut aucune nuance susceptible de se voir apportée dans le formationnel de ce triadisme aux accents paroxysmiques : ces nuances se révèlent au gré des ambiants générés…
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5 mai 2004
5 mars 2004 19:17 , 0 messages
> COMMUNICATION PAR VOIE ORDINATORIELLE
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