Dans le deuxième chapitre du tome 3 de votre livre, vous vous prêtez à un judicieux commentaire sur les conséquences de la « survolumisation » à travers le gigantisme.
A ce jour, il peut s’établir un constat similaire en jaugeant les effets des « verticalisation », « horizontalisation », « volumisation » et « thésaurisation » outrancières dont fait l’objet « l’agencement provoqué de l’environnement » auquel appartient votre humanité.
Celle-ci se trouve totalement dépendante de ce sous-échange que figure le gigantisme précité.
Par ailleurs, vous savez fort bien que la profusion du formationnel mène à une confusion de l’informationnel dans la mesure où le « multiplicationnisme », en l’harmonie qu’il déploie, restera à jamais le monopole du Père, ainsi que les « fluido-luminescents » vous l’ont su indiquer.
C’est conséquentiellement ce qui donna à énoncer en leur temps à d’anciens « semi-géométrisés » ce qui est devenu chez vous un dicton : « Ne pas posséder afin de ne pas être possédé ».
En outre, ne perdez pas de vue que toute existentialisation démesurée précipite toujours le phénomène d’autodestructisme lié à la loi de l’apoptosisme.
Vous conclurez que, quelle que soit la nature du formationnel exerçant une convoitise par le biais du « cogito », ce mouvement désuperposé de l’Osmose Attractive conduit invariablement à des « actes à agir », puis « agis », de piètre qualité, donc porteurs de conflit(s). Nul ne saurait dénaturer le produit du mouvement sans devoir faire corps avec la dénaturation opérée. Ce concis rappel de la Loi des Echanges interrompra ma scripturalisation de ce jour.