Patrick MAZZARELLO et moi-même nous entretenions au téléphone des sollicitations diverses dont nous faisions l’objet. Ma pensée se focalisant alors sur la fameuse phrase de RASMUNSSEN « Faut-il céder à l’envie ? », j’en fais part aussitôt à mon interlocuteur. L’Etre de Lumière, dont Patrick reconnaît immédiatement la voix (MAGLOOW confirmant la chose alors que, quelque peu trahi par ma perception, je pensais qu’il s’agissait de JADOPHER), se greffe alors sur la ligne et nous gratifie des quelques lignes qui suivent.
RASMUNSSEN
Se prêter à l’ascendance du mot « envie » vous orientera vers une étymologie axée sur deux mouvements de pensée, tous deux originaires du latin, pour ce qui concerne votre culture : « invidia » et « cupiditas ». C’est dans le sens du second qu’il sied de positionner « l’envie » abordée présentement.
Un néologisme, établi en ce que nous qualifierons de bonne règle, ferait état d’un « convoitement »…
Mais délaissons ces détails liés au « formationnel » et adonnons-nous à la véritable « induction », c’est-à-dire à « l’informationnel » concernant cette désuperposition d’effet de la pression… Qu’en éclot-il ? Eh bien, tout uniment que « l’envie » reste le produit des flux directionnels contrôlables, du fait qu’elle passe par le cogito, à l’instar de toutes les données humorales… La difficulté majeure pour exercer ce contrôle demeure la substitution proposable à « l’envie » révélée, de par l’équivalence susceptible de se voir accordée à ce qui ne figure rien d’autre qu’une valeur d’échange.
N’omettons pas de préciser que l’astatisme qui s’instaure alors, suite au choc en retour, entretient, de besoin en nécessité, selon le spécifisme concerné, le processus de compensation existentiel, étant acquis que deux flux se percutant, y compris en la démultiplication de la chose, appartiennent au principe de réverbération puisque, tel que vous le savez, ils en sont initialement issus.
A bientôt.