Lorsque vous répercutez, vocalement ou bien scripturalement, que « chacun a les préoccupations qu’il mérite », n’omettez point de placer en exergue les deux aspects « causal » et « conséquentiel » s’y rattachant.
Ce faisant, vous engagerez celles et ceux qui bénéficient de votre rendu à observer, avec davantage de constance, que le produit du mouvement préactionnel - l’acte à agir - émane immuablement de l’admissibilité d’impression contractée par tout amalgame cellulaire dans le positionnement préexistentiel qu’il vous a été enjoint de nommer suspensif : siège des états de suspens.
Ce nuancement, en l’expression du rendu précité, autorisera les celles et ceux en question à moins céder au comparativisme cloisonnant trop souvent leur perception des choses, et donc à mieux considérer que tout procède de la répartition initiale : tant pour ce qui concerne les espèces, qu’à l’égard de ce que modulent les ambiants, au gré des flux qui les constituent.
En outre, vous relèverez le rapprochement à effectuer entre « chacun a les préoccupations qu’il mérite » et « l’exemple est inhérent à celui qui le vit ».