Les modifications climatiques appartiennent au mutationnisme ; elles savent procéder à une suractivité des micro-organismes, tant en températures basses qu’en températures élevées.
La gent bactérienne ne déroge pas à la mouvance et peut, sous la tutelle de cette suractivité, enclencher des désordres plus ou moins signifiants sur les supports qu’elle occupe.
La chose concerne tout ce qui se trouve géométrisé, le « singularis porcus » y compris.