Le « sous-mouvement » inhérent à la dynamique de projection que nous vous avons fait valoir sous l’appellation d’exhibitionnisme ne doit pas seulement se visualiser sous l’expression « d’ exposition corporelle dénudée » lui ayant valu certaines annonces picturales dans différentes agences de presse, à des fins les plus diverses.
L’exhibitionnisme s’applique également pour la médiatisation des formes que - par exemple - prend la rupture, dès qu’elle emprunte des voies conflictuelles par rapport à « l’image » qu’en projette le cogito, qu’il s’agisse d’ euthanasisme, de kamikazérisme, ou d’autre exacerbation mécanique liée à « la cessation d’échange ».
Il concerne tout autant les pseudo-révélations de caractère dit privé de certaines « personnalités » occurrentiellement guidées par une « idée de la transparence » à l’endroit de leur actionnel agi ou à agir.
Tel qu’il vous l’a été signifié, l’exhibitionnisme concrétise une existence - de déploiement en rupture, de rupture en récurrence réadaptatrice - dont la partie la plus efficiente (pour l’espèce pensante qui vous intéresse) doit en finalité demeurer « la formulation » ayant su autoriser jusqu’à ce jour la relation palingénésique procédant à ce que représente l’élaboration de « l ’existentiel », au travers des spécifismes le configurant.