Mentionnant dans votre ouvrage le fait que la pratique précède la théorie dans la plupart des cas, il vous appartient par ailleurs de faire valoir, autant que « l’occasionnel » l’exige, l’ordonnancement pourvoyant à la mise en place effective des produits du mouvement. Pour ce, convient-il uniment de replacer en exergue ce que l’on vous signifia quant au processus résolvant l’avènement de l’actionnel dans tout ce que figure sa dynamique : à savoir que le conjoncturel [1] agence le circonstanciel [2], avant que celui-ci n’élabore le situationnel [3] que votre sens analytique définit ensuite en tant qu’événementiel [4].
Emprunter un « raccourci » par rapport à ce constat de principe, incline à ne point occulter qu’en amont du déploiement de ces facteurs, la Pensée génère le penser d’après le mode de mouvance de tout ce à quoi elle confère existence, à travers la Loi des Echanges, avec les nuances qu’il sied d’apprécier entre l’exercice d’état et l’exercice de fonction.
Ainsi que ces détails viennent de vous le rappeler, vous concevrez que, du mécanisme de la sorte établi, s’imprime, puis s’exprime ce que vous savez considérer désormais sous le syntagme d’intelligence événementielle [5].
Cette concise remise en souvenance saura vous aider à vous délester encore plus efficiemment de la notion de « hasard » dans tout ce qui vous vit et tout ce que vous vivez.