L’instabilité, en matière d’équilibre général, est pratiquement toujours provoquée par une carence dans le processus dit de « compensation existentiel », à savoir l’échange Eau/Lumière [1]…
Cet échange s’effectue de façon inconstante, c’est le cas qui nous intéresse en cet instant : l’irrigation du cerveau limitant l’absorption de lumière active… Il y a prédisposition dans la majeure partie des cas à cet état de choses : entendez par là réminiscences, voire atavisme [2].
Toutefois, il faut des circonstances précises pour accéder à l’acte, acte toujours sanctionné par une rupture : nous entendons ici crime ou suicide… Dans ce cas précis, l’environnement, l’insuffisance dans l’alimentation et le non-respect de la récupération en sont les éléments majeurs… Le déséquilibre, de la sorte accentué, limite, atrophie les facultés de régulation et le sujet ne se trouve alors jamais en position sécurisante, se sentant mal, il fuit l’instant. La difficulté à se fixer provoque, au travers des spasmodiques échanges lumière active/liquide, une telle agitation, qu’il y a perte du contrôle de soi. La victime connaît une sensation d’écrasement et les phobies qui en découlent, deviennent des réflexes d’autodéfense…
L’individu désire alors se protéger, se dégager, il est en proie à ce qu’il est convenu d’appeler des accès d’obnubilations irrationnelles : donner ou se donner la mort, quelle qu’en soit l’incidence dans l’Absolu. Là se situe la conclusion de la phase la plus accentuée du phénomène : le « cogito » réclame cette rupture !
L’individu n’a la sensation d’exister que s’il croit disposer de la durée de sa vie ou de la vie des autres… Sachez en outre que l’acte est en l’acte, la chose en la chose, le reste est fable…
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Bonjour. Qu’entendent-ils par le terme : processus dit de « compensation existentiel » ? Il me semble en avoir une idée erronée. Merci.