Le facteur principal destinant à une mue évolutive demeure la capacité d’admissibilité d’impression. Cette potentialité officie en ordonnançant la gradualisation des données de « l’informationnel de base ». La chose se veut donc acquise avant que ne s’exerce l’influence du « cogito » en matière d’expression.
Précisons dès lors que, suite aux multiples effets qu’enclenchent les flux astatisant les mouvances de l’Alternance Osmotique [1], l’Oscillationnisme n’autorise aucune trajectoire linéaire. Soumise à ce qui n’est rien d’autre que « le déflexionnisme » [2], chaque vie consciente connaît des phases de »réversibilité« qui s’enregistrent en qualité de »faire corps" [3], en réverbération avec le spécifisme déterminant les modalités inhérentes au binôme état / fonction [4], c’est-à-dire en adéquation avec le compensatoire existentiel propre à chaque espèce. Considérons, en aparté, que la chose s’exerce avec les nuances qui s’imposent, lorsqu’elle concerne une espèce possédant une conscience participative au mouvement, autrement dit : une espèce pensante.
Ainsi, les phases de « réversibilité » précitées [5] (que Karzenstein vous avait engagés à concevoir en tant que « processus de convertibilité [6] ») se vivent collectivement chez les supports voués à une complexion peu minéralisée, et individuellement chez les autres (parmi lesquels se positionne, bien évidemment, la frange de la descendance androgynale que vos semblables du moment constituent). Ceci exposé, nous reviendrons ultérieurement sur les facteurs ayant trait aux mues évolutives de cette catégorie dont il s’avère moins vain que jamais de rappeler qu’elle demeure le produit d’une seconde nature.