Le principe de répercussion n’entre pas en considération dans « le penser » de votre espèce dans la normativité qui lui est due …S’il en allait autrement, celle-ci n’aurait point à observer tant de disparité entre « qualité des choses à vivre » et « qualité des choses vécues ».
En le « conséquentiel » découlant de tout acte agi, « prétexte » et « excuse » ne se substitueront quasiment jamais à la « raison », c’est à dire au « causal » et carrément jamais à la « cause causale » ou « origine de la cause ».
Néanmoins, dans le cadre de « l’équation perpétuée » qui, comme vous le savez, tient compte en priorité de votre vocation anthropocentrique, il vous a été souvent concédé de tenter de mener celles et et ceux arpentant votre chemin existentiel à la source de ce qui suscitait leurs préoccupations et bien sûr leurs occupations.
Pour ces compagnons de voyage, les « chocs en retour » ont été quelques fois éprouvants, voire tragiques si l’on accorde référence aux codes analytique et moral de vos semblables… Toutefois, sous le couvert de « l’oscillationnisme » dont vous connaissez le rôle immuable, il vous fut signifié en temps choisi qu’un échec pouvait représenter le tremplin d’une phase évolutive…
A ce propos, nous aurions dû préciser et parler plutôt du constat de l’échec et moins de l’échec lui-même. C’est ce que nous vous engageons à mettre en lumière dans le cadre des situations semi-provoquées auxquelles vous avez dû faire face récemment et auxquelles vous serez encore offert prochainement.
Evidemment, tout un chacun se trouve convaincu que se montrer complaisant à l’égard de soi demeure plus que jamais à bannir…
Cependant, en la circonstance, nous ne jugeons point inopportun de réactualiser ce conseil.