A propos des paroles « Quand les fleuves iront se jeter dans le bon océan », entendues dans la chanson de Claude LEMESLE intitulée « Le boulevard Aragon » :
Il ne se localise aucun océan qui n’ait point, en le choisi du Temps, englouti maints archipels ou encore moult engins de navigation.
A l’image de tout le reste, le qualificatif « bon » devra donc s’interpréter encore et toujours en tant que notion.
A propos de la mise en disponibilité des « pare-pieds » :
A l’instar de Lucette, votre amie Virginie accuse en certaines périodes de calorification ambiante ce qu’il convient de surnommer une « rétention aqueuse ».
Durant ces périodes, Virginie se privera donc délibérément (et dans la constance) d’enserrer les extrémités de ses membres dans des fourreaux « protecteurs » tendant à accentuer l’état précité.
En outre, les pieds dénudés, en l’interactivité de la pression librement exercée, pourvoient à une amélioration incontestable du processus circulatoire et donc de l’échange eau/lumière…
Que votre amie ne considère pas ce situationnel semi-provoqué comme une mesure pénalisante mais comme une mesure prévenante…