Se remémorer circonstanciellement que « regarder », en l’acte qui résout l’agissement que figure « voir » (ainsi que vous l’exposez convenablement dans le 3e volet de votre ouvrage scripturalisé), autorise à établir un « constat ».
Un « constat » représente un « état de fait », autrement formulé : une existence , laquelle, à l’instar de toute existence , développe une fonctionnalité. Réitérons ici que c’est au suivi attentionnel porté à cette fonctionnalité que se décèle la qualité des choses vécues .
« Le regard », en vertu de « la vision » qui le génère préalablement, et en adéquation avec la continuité qu’il exerce, positionne alors - à des titres divers - la qualité des choses à vivre . Il s’agit là d’un des effets du théorétisme auquel les « espèces pensantes » ont accès.
Il s’avère évident que s’interdire de « regarder » avec assiduité un situationnel ne correspondant pas à ce que projette le cogito , via l’idée confortabilisante que celui-ci propose [1] - en s’adonnant par exemple à une agitation occultant momentanément ledit situationnel -, conduit toujours à « décaler » l’avènement de la prise de conscience .
La réitération de ce refus de s’attarder sur ce qu’il y a lieu de « voir » préamalgame des « reconductions actionnelles », et procède, dans le flou de la densité ainsi constituée, à l’élaboration du « principe de dilution » [2] se produisant par la suite au cours des récurrences réadaptatrices ayant cours dans le suspensif .