Au gré des situationnels consécutifs à la percussion des flux existentialisateurs de cette fin de cyclique, s’effectue un « brassage pluricellulaire » d’envergure, car s’opérant tous spécifismes confondus.
La chose, tel que vous le savez, appartient à la mutation d’ensemble et ne surprend qu’autant que l’informationnel de base (propre à chacun) galvaude, par cogito interposé, les divers directionnels contrôlables qu’offre à « intercepter » l’Initial.
« L’effet de surprise » en question provoque alors - en parfaite adéquation avec les ambiants et les supports occasionnels « réverbérants » - une expression du compensatoire existentiel qui donne cours aux émergences humorales récemment référencées [1].
Il sied de concéder ici qu’un confinement laxiste à la praxie de ces dernières « déplace » singulièrement l’avènement de la prise de conscience (dont vous traitez dans les chapitres 16 et 17 du 3e volet de votre ouvrage scripturalisé) et dispose - en subséquence - un notionnel axé sur ce que nous nommerons occurrentiellement un « jugement de rassurance ». Celui-ci dénature considérablement la dynamique d’ appréciation qui vous fut par ailleurs conseillée dans la perspective de la progression à laquelle disent aspirer vos semblables actuels.
Dans l’optique de cette éventuelle « amélioration », il se révèle utile que vous sachiez que le développement idéel - auquel vous vous adonnez dans le Voyageur de l’Orage - garde capacité à différer dans une « constance mesurée » (au su du spasmodique échange dont nous devisâmes voici trois décennies) [2] le « déplacement » précité quant à la prise de conscience retenant notre attention, puisque dans ce même mouvement, la teneur de votre œuvre philosophico-musicale « érode » (en percussion) le produit toujours excessif des émergences humorales, et (en répercussion) l’élément de projection qu’elles préconditionnent.
Ces quelques lignes se voulaient nécessaires car elles tendent à vous laisser entendre que votre rendu ne s’avère point si inutile que votre cogito vous induit à l’envisager parfois.