Conjointement à ce qui a su se formuler sur les paramètres entrant en lice dans le processus des mues évolutives, il s’avère opportun de mentionner le rejet [1].
Ce principe s’édifie également au gré de l’oscillationnisme : « rejeter / être rejeté ».
Le rejet est une facette du don. Le rejet essentiel s’effectuant par l’entremise de « l’inconscient » doit s’interpréter en tant que don de soi, même si l’agissement qui le pourvoit se résout à travers l’acte, via le « cogito ».
On ne peut « donner » que de ce que l’on a « reçu », et ce, en tenant compte du délai imparti entre « la Pensée » qui donne et le sujet ou support qui reçoit : ce dernier point devant vous permettre d’apprécier qu’une déperdition indubitable s’ensuit… Celle-ci s’établit diversement et vous la retrouvez par exemple - désuperpositionnellement parlant - dans la différenciation relevable entre transmis et rendu.
Au su de l’autorité qu’exerce La Loi des Échanges en régissant ce mouvement, il va de soi que ce dernier s’avère éternellement lié à la qualité des choses à vivre du support concerné, quelle que soit la teneur que le cogito attribue ensuite à la qualité des choses vécues.