S’il reste acquis que les choses effectuées ne revêtent vraiment d’importance que pour celui servant de support occasionnel au produit du mouvement en sa « désuperposition », il demeure convenable d’ajouter sous quelle praxie ladite importance prend son essor.
Compendieusement [1], nous conviendrons donc que celui qui accomplit une action estimera « la qualité » de cette action en vertu de son « patrimoine informationnel », et en fonction du situationnel qu’aura su disposer l’ambiant…
Il va sans dire que, de par le principe de fusion constante [2], tout ce qui s’entreprend (le provoqué) ne détient qu’une valeur très relative au regard de l’Etabli, même si le cogito, selon sa dynamique projectionniste, s’efforce de « traduire » l’actionnel sous une plus accommodante facette.
Concluons en notant que se reporter à ce qui vous fut énoncé à propos du patrimoine illusoire [3] s’avère fort opportun, afin de fortifier l’approche de la connaissance de soi de ceux qui partagent - de près ou de loin - vos instants…