Le mouvement qui traduit - en fin de course - un événementiel selon le quatriadisme - conjoncturel / circonstanciel / situationnel / événementiel [1] - englobe tout ce qui « complexionne » l’aboutissement de la fin de course précitée, et ce, quels que soient les critères que, pour sa part, le cogito s’accorde à « référencer ».
À ce titre, il importe que vous vous évertuiez à « épauler » ceux qui gardent accès aux propos que nous échangeons avec vous, de sorte qu’ils parviennent à « estimer » ce qui survient tel le produit de la praxie de l’Établi, quand bien même celui-ci s’exerce-t-il de manière invariable dans le « déploiement » du provoqué qu’il désuperpose et démultiplie.
De fait, les individus invités au présent dialogue se verront-ils plus régulièrement offerts à un « repositionnement » des valeurs, autrement formulé : à une vision de la chose en ce qu’il sied de syntagmiser sous la définition de processus inversé.
Ils pourront davantage s’épargner le récurrent intervertissement qui les engage à faire du conséquentiel le causal [2].
Ce n’est pas acquis d’avance : nous demeurons ancrés dans les « ondes profondes » de notre « culture » et des « mémoires » liées à notre spécifisme…
Délaissons votre appréciation - si fondée se confirme-t-elle - et reprenons le cours de nos dires en rappelant ce que vous souligniez récemment à vos amis CHANTAL, MONIQUE et MAURICE, par rapport à un aspect de l’action du réverbérationnisme…
« Notre image se reflète dans la glace avant que nous en soyons conscients… » ?
C’est cela, JANTEL, aussi concevrez-vous aisément aujourd’hui qu’une prise de conscience s’exerce avant que le cogito ne l’identifie en tant que telle. Si nous exemplifions le principe en fonction des personnages célèbres hantant la corporéité de nombre de vos conversations, nous constaterons alors que ce n’est point la chute, par le biais de la dégénérescence de ce que ces personnages avaient tour à tour entrepris qui leur occasionna la fameuse prise de conscience dont vous traitez dans votre ouvrage, mais - plus exactement - la prise de conscience qui agença dégénérescence, puis chute…
Vous aviez énoncé une formule pour ce type de situationnel : introspection / prise de conscience / remise en cause / évolution, formule que résume par ailleurs fort bien votre adage « évaluer pour évoluer »…
En ne s’égarant pas du fait qu’un décalage existe pour ce qui a trait à l’appréciation des effets de cette dynamique, à partir de l’instant où le cogito ne réceptionne que partie du produit de ce qui ne figure qu’une livide illustration de la récurrence réadaptatrice, à travers un actionnel vécu…
Ce décalage a donc bien une influence néfaste - si je puis dire -, sur la qualité de « l’appréciation » s’ensuivant…
Inévitablement, JANTEL… Nous revenons là à ce qui s’est dit auparavant quant à la réversibilité touchant conséquentiel et causal, et constatons que l’oscillationnisme présidant à tout ce qui procède à la convertibilité des choses fait que la remise en cause se trouve souvent représenter une remise en conséquence…
Y a-t-il un moyen de contourner le problème ?
De le contourner, non ! Mais de l’observer plus efficiemment, sans conteste, JANTEL ! Au moyen de l’inductionnisme…
En l’introspection qui le définit, il demeure le plus garant vecteur de « la perceptivité » puisqu’il favorise toujours l’interception…
La prise de conscience est une interception ?
Par excellence, JANTEL ! Dès qu’elle se localise, autrement dit : dès que le cogito se révèle connecté par le choc en retour inhérent à la réaction de l’informationnel de base, suite au « captage » dont celui-ci hérite de la part de l’Initial…
Ne scripturalisez point vous-même, au sortir du troisième volume de votre ouvrage, que le cogito ne peut en aucune façon intercepter directement l’Initial qui se manifeste uniquement à l’inconscient, et très épisodiquement au semi-conscient ?
Oui, étant donné que vous le confirmez, mais cela revient un peu à assimiler « la chose » à cette prééminence que possède l’Établi sur le provoqué…
La prise de conscience investit le cogito, sans que ce dernier ne l’ait envisagé… S’ensuit alors, en vertu du délai compris entre recevoir et sensation de recevoir, « l’agissement » qui va engendrer le rejet, c’est-à-dire la propension à faire le
Vide…
Puisque l’occasion se présente d’aborder le sujet…
ZILDER vous retranscrira ce que JADÖPHER vous énonça sur le rejet [3], lors de la séquence isolatoire que vous assumâtes au domicile de votre ami MARCEL… Ainsi, interromprons-nous ici ce bref entretien qui m’aura permis, au passage, de transmettre mes pensées de bonne augure à votre entourage proche ou lointain…