Ce texte traite de l’incapacité qui reste nôtre d’agir sur tout ce qui est appelé à se produire.
En fait, ce message est survenu simultanément à une conversation au cours de laquelle nous débattions de la capacité d’agir à « contre-courant » sur ce que nous estimons néfaste pour notre « progression », du moins dans le sens où notre culture l’enseigne.
Nous envisagions, sans trop y croire, qu’il y avait une ou des possibilités de s’améliorer par le biais de quelque « remise en cause » : cette remise en cause s’établissant sur le fait de prendre en compte les erreurs commises, à quelque degré que ces dernières se relèvent, de façon à ne pas avoir à les réitérer lors de futures « vies conscientes ».
Apparemment, notre postulat avait omis, une fois de plus, de considérer l’autonomie dont « bénéficie » chaque chose, « situation(s) » et « événement(s) » compris : cette fameuse « intelligence événementielle » que nous ne situons concrètement (si l’on peut dire) qu’au constat de la similitude de faits se déroulant régulièrement et non d’après la praxie des flux existentialisant tout ce qui est voué à une localisation, donc à une fonctionnalité.
Voilà, il nous reste encore beaucoup à « observer ». Je crois, pour ma part, qu’il s’agit là de la meilleure démarche qui soit pour « être vécu » par cette fameuse « remise en cause » à laquelle nous aspirons et qui, à notre insu, programme certainement d’autres strates de « la vision des choses ».
En la finalité qui le caractérise, et selon le mode avec lequel s’adéquationne le spécifisme propice à son « exercice », l’actionnel [1] conditionne dans la continuité d’autres « supports ».
Étant ouï que ce sont les flux qui « programment » la réverbération incidente et leur produit en façonnant une « fonctionnalité d’ensemble », il convient de conserver à l’esprit que l’événementiel possède sa propre intelligence et qu’à la faveur des flux précités, l’actionnel se régénère au travers d’autres « supports occasionnels », consacrant de la sorte ce qu’il s’avère opportun de considérer telle sa récurrence réadaptatrice.