La constance avec laquelle un individu se consacre à un actionnel détermine la qualité des choses vécues.
Rappelons pour précision que la chose relève de l’acte à agir, puis agi. L’information incidente que l’Établi susurre à son cogito définit « la qualité des choses que l’individu estime devoir vivre ».
Ainsi que vous le relatez dans votre ouvrage, c’est en fonction de la prise de conscience qui s’installe réellement en l’esprit, que le support concerné procède à une approche de la qualité des choses à vivre, si décalée cette dernière puisse-t-elle figurer chronologiquement parlant.
Ces quelques lignes vous auront remémoré « le nuancement » qu’il y a lieu de relever sans cesse entre ce « qu’unifie » la Vie et ce que s’emploie à « réunir » l’existence, « réunir » correspondant à « unir de nouveau », autrement dit à tenter de pallier la rupture. Vous aurez aisément saisi que la chose détermine un des aspects de l’élément de projection dont vous avait fait mention KARZENSTEIN.